Il y a six heures de décalage entre Paris où je travaille et New York où je vis.
Après plus de 20 ans passés dans de grandes agences parisiennes, j'ai décidé d'écrire mon évolution professionnelle avec deux ailes. Celles de l'aigle made in USA, évidemment. Me voilà désormais free comme l'air, sérieux comme un pape et heureux comme Ulysse, à jongler entre les briefs du petit matin et les deadlines des grands soirs. Cela fait plus de 3 ans que ça dure et que cela ne gêne personne. Et le décalage est au pire horaire, au mieux créatif. Et dans ce sens-là, croyez-moi, ça arrange tout le monde.